Nouvelle taxe de 10% sur les plus-values sur actifs financiers.
Les sociétés holdings :
Celles qualifiant de grandes entreprises sur une base consolidée, avec participations <10%, seront pénalisées.
Les dividendes et plus-values de ces participations seront soumis à l’ISOC à cause de :
La condition de participation minimale relevée de 2,5 à 4 millions d’euros
La (ré)introduction d’une condition d’immobilisation financière
Les multipropriétaires :
Suppression de la déduction fédérale des intérêts contractés pour acquérir ou rénover une seconde résidence ou un immeuble d’investissement (mis en location).
Le montant des avantages de toute nature (ATN) sera plafonné à 20% de leur rémunération annuelle brute.
Les fondations privées patrimoniales :
Encadrement plus strict de la notion de but désintéressé.
Les investisseurs en cryptomonnaies :
Contrôles fiscaux accrus suite à :
La communication des comptes crypto au Point de Contact Central (PCC) de la BNB
L’accès facilité des agents du fisc à ces informations
Les sociétés détenant des SICAV RDT :
Taxe de 5% lors du rachat des parts.
Ce bilan illustre une réforme fiscale contrastée, où certaines catégories voient leurs charges allégées tandis que d’autres devront composer avec une pression accrue. Les conséquences réelles dépendront de la mise en application de ces mesures.
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