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La Belgique est un très bon pays ou travailler :73 % des Belges y sont satisfaits de leur travail!

La Belgique dans le top cinq européen en termes de satisfaction des travailleurs. Le « quiet quitting » reste stable !

À l'occasion de la Journée internationale du travail (1er mai), SD Worx publie les résultats de son enquête internationale menée auprès de 16 000 travailleurs dans 16 pays en mars 2025, dont 1 000 Belges. Il s'avère que, si l’on considère la satisfaction, la Belgique est un très bon pays où travailler. Près de trois quarts des Belges (73 %) sont satisfaits de leur travail. Cela nous place dans le top cinq européen en termes de satisfaction des travailleurs.

Les Belges sont également très positifs en termes de passion pour le travail et de motivation : avec 66 %, nous sommes dans le trio de tête européen. Moins d'un Belge sur trois ne fait que le strict nécessaire au travail.

Avec 66 % des Belges, nous nous situons dans le top trois européen en termes de collaborateurs motivés

Tout comme en Irlande, 73 % des Belges se disent satisfaits de leur travail. Seuls les Pays-Bas, la Roumanie et la Norvège font mieux : respectivement 77 % et 76 % des travailleurs y sont satisfaits de leur travail. Cela signifie que la Belgique se situe dans le top 5 des pays européens ; avec onze pays où les travailleurs sont moins satisfaits. C’est notamment le cas de l’Italie qui ferme le classement avec le moins de travailleurs satisfaits de leur travail (61 %).

Mais ce n'est pas tout : près de sept Belges sur dix (66 %) se disent motivés et passionnés par leur travail. Seuls les Néerlandais et les Roumains obtiennent de meilleurs résultats. Cela place les Belges dans le top trois des travailleurs les plus motivés et les plus passionnés. Cependant, il y a des différences : sur les 66 %, 19 % se disent très motivés. Par ailleurs, 14 % déclarent ne pas être motivés, soit un travailleur sur sept.

Le « quiet quitting » n'a pas le vent en poupe en Belgique

Il y a aussi des travailleurs qui ne se concentrent que sur le « strict nécessaire » : moins d'un Belge sur trois est dans cet état d’esprit. Cela nous place dans le groupe où le « quiet quitting » est le moins présent. La démission silencieuse, ou « quiet quitting », est un terme venant des États-Unis et faisant référence aux travailleurs qui ne font aucun effort supplémentaire pour le travail ; seulement le strict nécessaire. Les travailleurs norvégiens ont le score le plus bas avec 28 %, suivis de l'Allemagne (29 %). En Belgique et aux Pays-Bas, cette attitude se limite à moins d'un sur trois (30 %), comme l'année dernière. Douze pays ont un pourcentage plus élevé.

Katleen Jacobs, Business Manager Legal Consultancy chez SD Worx : « Les travailleurs belges ont une mentalité positive. La majorité d'entre eux aiment leur travail : 66 % se disent d’ailleurs motivés et passionnés. De plus, les Belges sont également très fidèles à leur employeur et ne sont pas adeptes du « quiet quitting », une attitude s’observant seulement sur un Belge sur trois ; soit une tendance qui n’évolue pas. Toutefois, cela ne change rien au fait que les employeurs et les travailleurs doivent continuer à s'engager à rendre le travail significatif et de bien veiller à ce que la charge de travail reste réalisable. »

« En fin de compte, nous passons une grande partie de notre vie au travail et, idéalement, vous avez également le sentiment que vous pouvez grandir et contribuer activement à votre entreprise et à la société grâce à votre travail. Le travail ne doit pas être un fardeau : il peut être une source de fierté, de connexion et de croissance personnelle », conclut Katleen Jacobs de SD Worx.


À propos de l'enquête internationale auprès des employés

SD Worx, le premier fournisseur européen de services RH, aide les petites et grandes organisations à relever leurs défis en matière de RH et de paie. Afin de prendre le pouls des employeurs et des travailleurs, SD Worx mène régulièrement des enquêtes approfondies. L'analyse du dernier « HR & Payroll Pulse » fournit aux organisations des informations précieuses pour orienter leur stratégie RH et paie et la rendre à l'épreuve du temps.

L'enquête a été menée en février 2025 dans 16 pays européens : Belgique, Allemagne, Finlande, France, Irlande, Italie, Croatie, Pays-Bas, Norvège, Pologne, Roumanie, Serbie, Slovénie, Espagne, Suède et Royaume-Uni. Au total, 5625 employeurs et 16 000 employés ont été interrogés. Les résultats donnent une image représentative du marché du travail dans chaque pays.


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