L'Arabie saoudite a annoncé trois vagues supplémentaires dans le cadre des mandats de taxation et de facturation électronique du pays. Découvrez les nouvelles vagues, ainsi que les mandats existants du pays.
En décembre 2020, l'autorité fiscale saoudienne (Zakat, Tax and Customs Authority - ZATCA) a annoncé de nouvelles réglementations en matière de facturation électronique via une approche en deux phases.
La première phase, appelée "phase de génération", stipulait que les entreprises devaient être en mesure d'émettre et de recevoir des factures électroniques d'ici décembre 2021. À partir de décembre 2021, les entreprises ne pouvaient plus utiliser de factures manuelles et ne pouvaient utiliser qu'un système de facturation électronique compatible ayant la capacité de stocker et d'archiver toutes les factures.
La deuxième phase de la réglementation saoudienne, connue sous le nom de "phase d'intégration", a été lancée le 1er janvier 2023 selon une approche échelonnée. Au cours de cette phase, les entreprises doivent intégrer leur système de facturation électronique compatible à la plateforme FATOORA de la ZATCA, en utilisant l'API propre à la ZATCA. Cette phase particulière comporte plusieurs vagues, toutes basées sur le chiffre d'affaires imposable de l'entreprise en 2021 ou 2022 :
Dans le cadre de la réglementation saoudienne, toutes les factures fiscales font partie du modèle d'apurement, ce qui signifie que la facture doit être apurée avant de pouvoir être soumise au destinataire final. Au cours de cette phase, les entreprises doivent uniquement générer des factures électroniques au format XML ou PDF/A-3.