Cette période débutera entre le 12 et le 25 janvier 2020, suivant la date à laquelle une entreprise organisera le vote.
Tout travailleur licencié à partir de la date (x – 30) bénéficiera donc d’une protection rétroactive contre le licenciement s’il pose sa candidature aux élections… alors qu’il ne fait plus partie de l’entreprise.
Il pourra donc demander sa réintégration. À défaut de le réintégrer, il aura droit à une indemnité de protection variant entre deux et huit ans de rémunération.
Que les employeurs se le tiennent pour dit !