Les banques belges sont-elles vraiment les plus avantageuses d'Europe ? C'est ce que suggère une étude comparative réalisée par le réseau mondial d’audit, de fiscalité et de conseil KPMG, qui a analysé les offres bancaires de huit pays européens, dont la Belgique et ses quatre voisins (France, Allemagne, Pays-Bas et Luxembourg)https://hellosafe.be/banque. Selon cette étude, la Belgique se distingue par ses comptes de paiement numérique les moins chers, et par sa large gamme de services et de produits bancaires.
En effet, le coût annuel moyen d'un compte de paiement numérique en Belgique est de 18 euros, contre 25 euros en France, 31 euros en Allemagne, 34 euros aux Pays-Bas et 38 euros au Luxembourghttps://hellosafe.be/banque. Ce coût comprend les frais de tenue de compte, les opérations courantes (virements, prélèvements, paiements par carte), les retraits d'argent et les services en ligne ou mobiles. La Belgique offre également le plus grand choix de comptes de paiement numérique, avec 100 formules différentes proposées par 21 banqueshttps://www.test-achats.be/argent/comptes-a-vue/simulateur.
La Belgique se démarque également par la diversité et la qualité de son offre bancaire globale, qui comprend non seulement les comptes de paiement, mais aussi les produits d'épargne, les crédits, les assurances, les investissements, etc. Selon l'étude de KPMG, la Belgique se classe en tête du classement européen en termes de satisfaction client, de confiance envers les banques, de fidélité et de recommandationhttps://hellosafe.be/banque. Les banques belges sont également réputées pour leur innovation, leur digitalisation et leur sécuritéhttps://www.test-achats.be/argent/comptes-a-vue/news/satisfaction-bancaire.
Les banques belges ont donc de quoi se réjouir de cette étude, qui met en valeur leur compétitivité et leur attractivité sur le marché européen. Toutefois, elles doivent aussi faire face à des défis, tels que la pression réglementaire, la concurrence des banques en ligne ou des fintechs, la faiblesse des taux d'intérêt ou encore la crise sanitaire. Pour rester dans la course, les banques belges devront continuer à s'adapter aux besoins et aux attentes de leurs clients, en leur offrant des services personnalisés, flexibles et innovants.